Artonik - Art de rue

Au répertoire

Les chevaux du plaisir (2012)

A la manière d’un road-trip, trois personnages embarqués à bord d’une Oldsmobile décapotable, livrent une échappée nocturne et chorégraphique sur des chansons dʼAlain Bashung.
Voir la vidéo

Solleone (2010)

Lʼédition 2010 du Festival de lʼOh célèbre la femme et sollicite une version adaptée de Caliente. Ce sera “Solleone” et trois femmes dont le quotidien dérape.
Voir la vidéo

On the beach (2006)

“On the beach” pose un regard sur lʼindifférence et lʼindividualisme de la jeunesse dorée, au petit matin dʼune fête sur une plage de sable.
Voir la vidéo

Alice – Station 2 (2004)

C’est le 3 mai, jour de fête nationale en Pologne… Huit personnages se retrouvent sur le quai pour guetter l’arrivée du train, mais l’attente s’annonce longue. Usagers en transit, ils livrent des fragments de leurs histoires, leurs craintes et leurs désirs d’Eden.

Alice – Station 1 (Août 2003)

Artonik se rend en Pologne pour mener un workshop avec des étudiants des Beaux-Arts de Gdansk et de jeunes comédiens, autour de l’univers des gares. Au terme de ce travail est présenté “Alice - Station 1”, spectacle exclusif en gare de Gdansk (festival FETA).
> Télécharger les photos

Candy Candy (2002)

Ce spectacle met à nu les petits crimes ordinaires et renvoie, par les multiples miroirs de la boule à facettes, l’image insupportable et profondément humaine des regrets, des erreurs et des actes manqués que nous avons tous en nous.

Caliente (1999)

Sept tranches de vie particulières, ou sept femmes qui au réveil, vont s’affairer à leurs tâches ménagères et dévoiler leurs obsessions, leurs attentes dans l’anonymat du quotidien.

L’homme en friche (1997)

Ce spectacle met en scène la vie d’un anti-héros, René, devenu héros du jour d’une émission de télévision. Cette création est une parodie des reality-shows, dans laquelle se mélangent théâtre et performance plastique.

Petite fête de la mort (1995)

Cette installation plastique sur, dans et autour d’une caravane est une réflexion autour de la maladie et de la mort. Cette création devient un spectacle interprété par Caroline Selig et Alain Beauchet.

Le Bateleur (1993)

Entresort forain dans lequel le public est invité à rechercher son destin. Celui-ci est dissimulé à l’intérieur de boîtes renfermant des objets fabriqués. Cette installation fonctionne à la manière d’un petit musée.

Photophobie (1992)

Cette installation invite le public à se promener dans un labyrinthe sonore et volontairement stressant, présentant sous différentes formes des photos de prisonniers de Cayenne, des agrandissements de signatures ou de tampons administratifs.